Division | Ff. 198v-199r | |
---|---|---|
Numérisations | ||
Description matérielle |
|
|
Titre donné par le manuscrit | Passio sanctorum martyrum Marciani Nicarii Apollonini | |
Identification | Anonyme Passio sanctorum Marciani, Nicarii et Apollini |
Intitulé de début :
Passio s(an)c(t)or(um) martyrum marciani, nicarii, apollonini.(f. 198v, col. B)
Incipit :
Bonoso karissimi (et) chorus martyrum qui in egyptum [sic] martyrizauit deo bonus (et) inenarratione [sic] dignus.(f. 198v, col. B)
Explicit :
[…] Hec cum nuntiata duci fuissent, murum quem edificari iusserat ad custodia(m) (et) sepulchrum iussit fieri pridie .iii. kal. Iunii. (f. 199r)
Intitulé de fin :
-
Formule conclusive :
-
Annotation(s) : -
Glose(s) : -
Marcianus, Nicander, Apollonius et soc. (5 janvier) = BHL 5260
Éditions de référence : Act. SS Iun. I, 420-421
Texte : Initiale filigranée.
Illustrations : -
Autres informations codicologiques : au 199v, plusieurs essais de plume et annotations diverses (de plusieurs mains), dont la première, longue de 9 lignes, est en ancien français, mentionne un tremblement de terre dans la région du Mont Saint-Michel : « En lans mil 500 et xxii le xxv jour de juin trembla la terre en plusieurs lieus et principalement en ce mont saint Michel de tumbe et fut ceste chose veue de plussieurs religieux et de plussieurs aultres gens et fut faicte ceste chose entre dix et unze heures de nuit et trenbla lespace de une heure sans finer de trembler » . Effectivement, dans la nuit du 25 au 26 juin 1522, un tremblement de terre s’est produit dans l’ouest et le centre de la France, notamment enregistré à Rouen et dans le Berry (cf. Encyclopédie de Bourges.. Une mention de ce tremblement de terre se trouve chez Dom Huynes (Paris, BnF, Français18947, f. 154r) : « 1522. Die 25 junii terræ motus magnus factus est in Normannia, de præcipue in Monte Tumba; terra mota est per horam scilicet a decima ad undecimam sine illa intermissione . ». Huynes donne pour source le cartulaire (mais ce texte ne se trouve pas dans le ms. 210), il pourrait s’agir du cartulaire disparu, le « Livre blanc », ou de la traduction du passage mentionné ci-dessus.
n. r.
n. r.
Sources hagiographiques
Vies