Apparat critique

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Pour citer cette page : Laboratoire de textes Norécrit, Coutume de Dieppe« Pour merciers trespassent Dieppe. », état d’établissement du texte annoté par Lény Retoux et Laurence Jean-Marie, sous la responsabilité de Laurence Jean-Marie, consulté le . [En ligne : ]

Pour merciers trespassent Dieppe.

{Fol. 33}Se aucun porte mercerie par Dieppe, mellee de quelque mercerie que ce soit a pié ou a cheval, il doit de chascun fardel, en passent ou rapassent la ville, xii d. La tablete a mercerie ne doit que iiii d. en passent ou rapassent sanz vendre.
Les marchans de dehors qui apportent mercerie a Dieppe, se ilz mettent hors a jour de marchié, ilz doivent maille chascun marchié, et par tant ilz s'en pevent aler hors de la ville par ou il leur plest, sanz ce que ilz soient tenus de plus acquitter leur mercerie, en portant le signe de la viconté.
Tous ceulz qui aportent mercerie menue en Engleterre, doit du troussel, a homme ou a cheval, xii d. t., quant il vient d'Engleterre, eulz en doivent xii esterllincz. Et se il est ainsi que il y ait avecquez la mercerie, fustaine, chendal, tappis ou sarges, l'en les doit acquittier a par eulx. Et est assavoir pour chascun chef de chendal, ii d. ; et pour piece de tappis ou sargez, i d.