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Comme nostre entente soit en ceste presente euvre a desclerier les droitures et les coustumes avé les apartenances de la visconté
de l’eaue de Rouen
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Prologue
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Ci commencent les choses de quoi nos diron et sont briement encapitulees par ordre aussi comme nos en determineron.
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i. De ce qui apartient a la ferme des estaus
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ii. De ce qui apartient a la ferme des peaus engravelees
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iii. De ce qui apartient a la ferme de chanvre
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iiii. De ce qui apartient a la ferme des
iiii piez
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v. De ce qui apartient a la ferme de la caherie
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vi. De ce qui apartient a la ferme de la prevosté de Darnestal
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vii. De ce qui apartient a la ferme du grant pois
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viii. De la coustume du harenc
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ix. De la coustume des maqueriaus et des autres poissons quiex qu’il soient, frez ou salez
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x. De la coustume des poissons d'eaue douce
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xi. De la coustume de la peleterie
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xii. Oe la coustume des choses qui sont a peser
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xiii. De la coustume des fruiz
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xiiii. De la coustume des cuirs, du feutre, de la parche, de la basenne et du cordoen et des peaus de veaus
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xv. Des vins, moeson et coustume, et de autres choses qui s’aquitent par mesure
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xvi. Des nez et des coustumes qu’eles doivent des marchaandises que il aportent
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xvii. Comment les choses communes s’aquitent
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xviii. De la coustume du deliage
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xix. Des choses et des personnes franches
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xx. Des cites, des chasteaus, des lieus, des villes, des feeus qui sont frans
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xxi. De l’asseement du travaill
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xxii. De la coustume du barrage et des torteaus
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xxiii. De la coustume des
iiii piez
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xxiiii. La coustume des estaus
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xxv. Des pors qui vont au pasnage, la coustume
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xxvi. De la coustume du blé, de orge et d’aveinne
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xxvii. Des choses que les personnes de seinte Yglise et des religions ont et rechoivent en la visconté de l’eaue Rothomagensis
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xxviii. Des choses que les viscontes de l’eaue Rothomagensis rendent sus ladite visconté as personnes laies
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xxix. De la coustume du sel qui va par eaue
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xxx. Des choses qui ont esté dites et pronunciés par jugement des contens qui jadis estoient meuz entre les viscontes de l’eaue
Rothomagensis d’une part, et le meire et les peirs Rothomagenses de l’autre
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Du juré au meire de la ville de Rouen qui feit injure ou forfeture as viscontes de l’eaue de Rouen, et de la justice qui en
doit estre feite
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xxxii. Du juré au meire de Rouen qui feit injure ou forfeiture as viscontes de l’eaue de Rouen et de la justise qui en doit estre
fete, tout en la maniere que il est desus dit hu capistre desus dit
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xxxi. De ceus qui viennent meindre de nouvel en la ville de Rouen
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xxxiii. De la juridicion que les viscontes de l’eaue ont sus lor coustumiers
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xxxiii. De la juridicion que les viscontes de l’eaue ont sus leur coustumiers et comment il les doivent deffendre du meire de Rouen
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xxxiiii. De ce que les viscontes de l’eaue doivent recorder
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xxxv. Du contens d’un estal
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xxxvi. De la justice que les viscontes de l’eaue de Rouen pueent feire sus le meire et les peirs Rothomagenses quant il forfont
ou dient injure as viscontes desus dis
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xxxvii. Des marchaandises qui pueent estre descarchiés de l’eaue et estre mises sous couvertures
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xxxviii. De vente feite dehors la banlieue de Rouen
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xxxix. De celi a qui l’en baille le merel et puis le pert
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xl. Des coustumiers qui pleident en la visconté de l’eaue de Rouen
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xli. De la poesté que les mariniers et les bateliers ont de arrester en leur vessiaus
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xlii. De ce que le meire et les peirs Rothomagenses doivent venir au mandement des viscontes de l’eaue de Rouen
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xliii. Des forfeitures
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xliiii. De prendre congié as viscontes de l’eaue Rothomagensis
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xlv. De celi qui afferme que la chose estrangé est soue
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xlvi. De la franchises a citeens Rothomagensibus en la viscontee de l’eaue Rothomagensis
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xlvii. De la juridicion que les viscontes de l’eaue de Rouen ont sus le larron pris a jour de marchié ou de feire, seisi de larrechin
ou soupechonné d’aucun crime
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xlviii. En combien loig la juridicion as viscontes de l’eaue Rothomagensis s’estent
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xlix. De la ley que l’en apele desreine
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l. Du pesage baillié a ferme
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li. Des bouteilliers de la viscontee de l’eaue de Roen
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lii. Des defautes de ceus qui pleident
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liii. De meitre les nez a kai ou a port
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liiii. De l’aquit de la marchaandise portee a col
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lv. Des compleignans qui doivent pas païer les destreis
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lvi. De la coustume du pein
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lvii. De la coustume du voide
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lviii. De la marchaandise achetee en compagnie
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lix. Des fardeaus alans par eaue
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lx. De fil linge et lange porté par eaue
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lxi. De celi qui n’est pas tenu le saleire as sergans, ne le denier por le tonnel a iceus meisme
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lxii. De pein, de blé et d’autres choses donnees ou a donner en ammosne
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lxiii. De la coustume de la caherie
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lxiiii. De homme mort peschié en l’eaue de Seinne
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lxv. Des amendes ou des forfeitures ou les sergans de la visconté ou les gardez des portes que l’en apele barriers de la vile
de Rouen ont partie
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lxvi. De la coustume des escueles, des pucheeurs et des seilles
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lxvii. Des choses que les viscontes de l’eaue Rothomagensis paient por les servises feire a la viscontee de Roen et la maniere
des services
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lxviii. De
i autre office
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lxix. De l’office as bermans
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lxx. Des chevaus et des quaretes passans par la ville de Roen atout marchaandises et sans marchaandises
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lxxi. De ce que l’en doit de rente a la viscontee de l’eaue de Rouen
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lxii. Des choses que les personnes de sainte Yglise sont tenus païer as portes de Rouen que l’en apele les barres
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lxxiii. Des nons des Sarrazins convertis a la foi chrestienne et combien il ont de gages chascun an jor et combien l’an por leur
mesons assignez a prendre sus la viscontee de l’eaue de Rouen
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Prologue
Apparat critique
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Pour citer cette page : Laboratoire de textes Norécrit,
Coutumes de la vicomté de l'eau de Rouen (BNF, fr. 5966 - Fin xiiie siècle)« xlv. De celi qui afferme que la chose estrangé est soue », état d’établissement du texte annoté par Laure Cébe et Lény Retoux, sous la responsabilité de Laurence Jean-Marie, consulté le . [En ligne : ]
xlv. De celi qui afferme que la chose estrangé est soue
¶Quiconques afferme aucune marchaandise quele que el soit ou autres biens quiex que il soieent estre suens par devant les viscontes de l’eaue de Rouen et il soit trouvé menchogier de ce, ladite marchaandise ou les{Fol. 57v, BNF_Francais_5966}dis biens remeindront ausi comme forfeis en la mein desdis viscontes.
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