Apparat critique

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Pour citer cette page : Laboratoire de textes Norécrit, Coutumes de la vicomté de l'eau de Rouen (Bibl. Sainte-Geneviève, 2998 - Deuxième moitié xve siècle)« La coustume des quatre piés. xvie chappitre », état d’établissement du texte annoté par Laure Cébe, sous la responsabilité de Laurence Jean-Marie, consulté le . [En ligne : ]

La coustume des quatre piés. xvie chappitre

Pour ung cheval qui vient a Rouen pour estre vendu ou achaté, l’en doibt ii d. Et se il yst par la porte par laquelle il entra, il ne doibt rien, mez {Fol. 27, BSG_2998}que il ne soit vendu. Et aussi de toutes bestes quelles que il soient, l’en paie la coustume se ilz ne sont franches, en la maniere que dessus est dit ¶au revenir de la coustumePassage rattaché à la phrase précédente dans les autres versions.. Pour chacun cuir tenné l’en paie i d., mais que la queue y soit. Et de frec aussi tant n’y soit la queue, combien que l’en en paieIl faut sans doute comprendre combien que l'on en porte, comme dans les autres versions., mes que il soit detaillé. ¶Pour i c de peaulx de chevreaulx, iiii d. ; et d’aigneaulx auxi. ¶Pour ung bacon de tueson, i d. ¶Pour une flique, i d. Et {Fol. 27v, BSG_2998}se il en y a deux fliques et elles sont toutes d’une beste, i d. tant seullement. ¶Pour la xiine de peaulx de veaux a let, ii d. ¶Pour ung cuir de cheval, de beuf ou d’autre cuir de cheval beste morte par cas d’aventure, i d. Et de droite mourine, rien.

Apparat :

a. Passage rattaché à la phrase précédente dans les autres versions | b. Il faut sans doute comprendre combien que l'on en porte, comme dans les autres versions |