Apparat critique

  • Version par défaut
Pour citer cette page : Laboratoire de textes Norécrit, Coutumes de la vicomté de l'eau de Rouen (BM Rouen Y 112 - Fin xve-début xvie siècle)« La coustume des quattre piedz », état d’établissement du texte annoté par Laure Cébe, sous la responsabilité de Laurence Jean-Marie, consulté le . [En ligne : ]

{Fol. 8, BMR_Y112}La coustume des quattre piedz

Pour ung cheval qui vient a Rouen pour estre achapté ou vendu, l’en doibt ii d. Et se il yst par la porte par laquelle il y entra, il ne doibt riens, mais qu’il ne soit vendu. Et aussy de toutes bestes quelles que y soient, elle paye la coustume et s’ilz sont frances en la maniere dessus dicte au revenir de la coustume. Pour chacum cuyr tenné on paie i d., mais que la queue y soit. Et de frec aussi tout n’y soit la queue et combien l’en en paye, mais qu’il soit detaillé. Pour ung cent de peaulx de quevreaulx, iiii d. ; et d’aigneaux aussi. Pour ung bacon de tueson, i d. Pour une flique, i d. Et se il y en y a deux flicques et elles sont toutes d’une beste, i d. tant seullement. Pour la douzaine de peaulx de veel a laict, ii d. Pour ung cuyr de cheval ou de beuf ou d’autre beste morte par cas d’avanture, i d. Et de droicte moryne, riens.