Apparat critique

  • Version par défaut
Pour citer cette page : Laboratoire de textes Norécrit, Coutumes de la vicomté de l'eau de Rouen (BM Rouen Y 112 - Fin xve-début xvie siècle)« Comme les choses communes s’acquictent », état d’établissement du texte annoté par Laure Cébe, sous la responsabilité de Laurence Jean-Marie, consulté le . [En ligne : ]

Comme les choses communes s’acquictent

Une meulle a fevre, i d. Une enclume a fevreUn passage a été omis : Une enclume a fevre, iiii d. Les soufflés a fevre que l'on appelle fons dans les autres versions. que l’on appelle fons, viii d. La meulle a moullin, ii d. Pour chacum cheval apportant ou rapportant bled, vesche ou telz choses, i d. Pour ung baril d’acyer en charette ou a cheval, iiii d. Pour tout esgrun en charette ou a cheval, iiii d. Pour ung cent de fer, iiii d. Pour tonnel de hanaps en charette ou par eaue, viii d. De fust a col ou a cheval, i d. Et de madre, iiii d. Aucuneffoys advient il que ung marchant faict porter ses draps ou toilles ou telz choses par deux hommes ou trois ou plusieurs, pour chacum homme portant il payra i d. Pour une forgeure a charette, i d. Pour trespiers venant en nef ou a cheval, iiii d. A col, i d. Pour sel porté a cheval, i d., mais qu’il ait myne.

Apparat :

a. Un passage a été omis : Une enclume a fevre, iiii d. Les soufflés a fevre que l'on appelle fons dans les autres versions |