Apparat critique

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Pour citer cette page : Laboratoire de textes Norécrit, Coutumes de la vicomté de l'eau de Rouen (BNF, fr. 5967 - Première moitié xve siècle)« La coustume des quatre piés. xvie », état d’établissement du texte annoté par Laure Cébe et Lény Retoux, sous la responsabilité de Laurence Jean-Marie, consulté le . [En ligne : ]

La coustume des quatre piés. xvie

Pour ung cheval qui vient a Rouen pour estre vendu, l’en doit ii d. Et se il yst par la porte que il y entra et il ne soit vendu, il ne doit riens. Et aussi de toutes bestes quellez que ilz soient est païé la coustume et sont franches en la maniere qu’il est dessus au revenir de la coustume. Item, pour chacun cuir {Fol. 21, BNF_Fr_5967}tenné l’en paie i d., mes que la queue il soit. Et de cuir frest aussi, tout n’y soit que la queue et de combien que l’en porte, mes que il ne soit detaillié. Pour ung cent de peaulx de quevreaulx, iiii d. ; et d’aigneaulx ausi. Pour le bacon de tueson, i d. Pour une flique, i d. Et se il y a ii fliques ensemble mes que ilz soient d’une beste, i d. tant seullement. Pour la douzaine de peaulx de veel a let, ii d. Pour le cuir de cheval ou de beuf ou de vasche ou aultre beste morte par cas d’avanture, i d. De droicte mourine, riens.