Les groupes de mains

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  • RigaudF [Eudes Rigaud (après 1270/1271)]
  • FlavacourtA [Guillaume de Flavacourt (v. 1278-1279)]
  • FlavacourtB [Guillaume de Flavacourt (v. 1280-1300)]
  • FlavacourtC [Guillaume de Flavacourt (fin de l'archiépiscopat)]
  • FargesA [Bernard de Farges (v. 1306-1311)]
  • XIV [Ajouts du XIVe siècle]
  • XVII [Ajouts des XVIIe-XVIIIe siècles]
Pour citer cette page : Laboratoire de textes Norécrit, Registre des églises ou pouillé du diocèse de Rouen (1236-1306)« Archidiaconatus Majoris Caleti  », état d’établissement du texte annoté par Emeline Mancel, sous la responsabilité de Grégory Combalbert, consulté le . [En ligne : ]

Archidiaconatus Majoris Caleti

Decanatus de Gomervilla vel Sancti Romani de Colebosc Commentaire
Une seconde main a rajouté les termes « vel Sancti Romani Colebosc » sur les rubriques de tous les feuillets comportant le nom du doyenné, à l'exception du fol. 60 verso.

Incipit decanatus de Fovilla

Decanatus de Wallemunt Commentaire
D'autres pages peuvent voir le terme orthographié « Wallemont ».

Commentaires :

1. Une seconde main a rajouté les termes « vel Sancti Romani Colebosc » sur les rubriques de tous les feuillets comportant le nom du doyenné, à l'exception du fol. 60 verso.

2. Il est difficile de dire si l'encre a coulé ou si quelque chose a été gratté, mais il semble qu'une correction ait été apportée quant aux nombre de paroissiens, qui ne se lisait peut-être pas « LXV » lors de la rédaction.

3. Les noms des deux églises sont écrits en liste à gauche du feuillet, puis reliés par deux traits au texte « cedunt... », écrit à droite du feuillet.

4. Un paragraphe est copié au fol. 4 recto, relatant un conflit sur le droit de patronage de cette église.

5. Un deuxième chiffre était présent à côté du X, qui a été effacé.

6. Le nombre de paroissiens est difficile à lire : le terme « XLVII » apparaît bien clairement mais il semble que quelque chose ait été ajouté entre « parrochiani » et « X », sans qu'il soit possible de définir avec exactitude la nature de l'ajout.

7. Le passage qui suit est écrit en bas du feuillet. Un dessin en forme de croix, présent à la fois au début du paragraphe de la paroisse et au début du paragraphe suivant indique la volonté du scribe de relier les deux.

8. La fin de la phrase, de la main du scribe de Pierre de Colmieu, se trouve sur le fol. 59 recto. Le scribe d'Eudes Rigaud reprend l'écriture du paragraphe au fol. 58 verso et le fol. 59 recto reprend avec le paragraphe de l'église de Chef-de-Caux.

9. Le paragraphe suivant est à mettre en relation avec l'église de Gainneville, plus en haut dans le feuillet. Un dessin en forme de croix, placé à la fois au le paragraphe précédent, après la main du scribe de Pierre de Colmieu et au début de ce paragraphe, indique que ce dernier a été rédigé avant l'investiture de Thibaud de Chatillon.

10. Le 28 février 1256 (n. st.)

11. L'identification est incertaine.

12. Le texte est très effacé, notamment à gauche de la page et ce qui reste lisible semble avoir été barré par des croix. Il est difficile de déterminer si le texte a été effacé volontairement ou par l'usure.

13. Le texte qui suit est écrit dans la marge droite, en sens perpendiculaire au texte du feuillet.

14. Pierre d'Hautot, chevalier, avait concédé le droit de patronage de l'église d'Hautot au prieuré de la Madeleine sous l'archiépiscopat de Robert Poulain. - Arch. dép. Seine-Maritime, 26 H 5.

15. Curieusement, l’intervention archiépiscopale n’est pas mentionnée, alors qu’elle l’est systématiquement pour l’investiture d’un prêtre.

16. Un terme semble avoir été gratté avant « Robertus », probablement une seule lettre, qui reste difficilement lisible.

17. La fin de la phrase qui suit, de la main du scribe de Pierre Colmieu, se poursuit au début du fol. 63 recto avant que le scribe d'Eudes Rigaud ne reprenne la rédaction au fol. 62 verso. Le fol. 63 recto reprend avec le paragraphe de l'église d'Allouville (barré).

18. Un paragraphe est dédié à cette paroisse au fol. 66 recto, rapportant un conflit sur le droit de patronage de l'église.

19. Les noms des deux églises sont écrits en liste à gauche du feuillet, puis reliés par deux traits au texte « Camerarius patronus... », écrit à droite du feuillet.

20. À cet endroit, après la main du scribe d'Eudes Rigaud se trouvait un petit paragraphe, sur deux lignes, écrit de la main du scribe de Guillaume de Flavacourt. Entièrement effacé, il reste très peu lisible ; il semble qu'il s'agit du paragraphe rattaché à l'église de Languetot, plus bas dans la page.

21. L'église de Nointot a été donnée aux frères du Mont-aux-Malades par l'archevêque Rotrou de Warwick, entre 1175 et 1183. (Arch. dép. Seine-Maritime, 25 HP 7.)

22. Un acte donné le 12 avril 1275 par le même archevêque indique qu'il a institué Guillaume de Lamberville comme recteur de cette paroisse. (Arch. dép. Seine-Maritime, 7 H 13.)

23. Transcription incertaine.

24. Une tache d'usure est présente sur les termes « libras » et « parrochiani », sans en empêcher la lecture.

25. Cet ajout tout en bas de la page renvoie probablement au folio 66 verso, qui commence par la paroisse d'Épreville, alors que des ajouts ont été intercalés au folio 66 recto.

26. Un premier paragraphe est consacré à cette église au fol. 63 recto, rédigé sous l'archiépiscopat de Pierre de Colmieu.

27. Le 26 mai 1266.

28. Le 22 septembre 1279.

29. D'autres pages peuvent voir le terme orthographié « Wallemont ».

30. Le bas du texte a été coupé ; il faut probablement lire également : « decanatus de Wallemunt ».

31. La fin de la phrase qui suit, de la main du scribe de Pierre Colmieu, se poursuit au début du fol. 67 recto avant que le scribe d'Eudes Rigaud ne reprenne la rédaction au fol. 66 verso. Le fol. 67 recto reprend avec le paragraphe de l'église de Daubeuf.

32. Le parchemin est abîmé à cet endroit, déchiré sur la longueur de deux lignes environ. Le scribe semble en avoir tenu compte, la déchirure étant probablement antérieure à l’écriture.

33. Le parchemin est abîmé à cet endroit, déchiré sur la longueur de deux lignes environ (cf : note sur l'église de Colleville a fol. 67 recto). Le scribe semble en avoir tenu compte, la déchirure étant probablement antérieure à l’écriture.

34. La phrase qui suit, de la main du scribe de Pierre Colmieu, se poursuit au début du fol. 68 recto avant que le scribe d'Eudes Rigaud ne reprenne la rédaction au fol. 67 verso. Le fol. 68 recto reprend avec le paragraphe de l'église de Bertheauville.

35. Un terme semble avoir été rajouté en interligne entre « parrochiani » et « XXII », probablement de la même main, sans qu'il soit possible de le définir avec exactitude.

36. Les termes entre crochets dans la phrase suivante constituent des restitutions supposées : le texte se trouve en bordure de marge et la page semble avoir été coupée.

37. La marge extérieure du manuscrit ayant été rognée lors de la restauration, les passages entre crochets sont restitués par l'éditeur.

38. Le terme entre crochets constitue une restitution supposée : le texte se trouve en bordure de marge et la page semble avoir été coupée.

39. La paroisse de Cany a fusionné avec celle de Barville en 1827. Un paragraphe est consacré à Barville dans le doyenné de Canville, au fol. 76 recto.

40. Ce paragraphe est à mettre en lien avec celui sur le Bec de Mortagne, au fol. 70 recto.

41. Le 26 octobre 1278.