Les groupes de mains

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  • ColmieuA [Pierre de Colmieu (v. 1239-1241)]
  • RigaudA [Eudes Rigaud (v. 1248-1258)]
  • RigaudB [Eudes Rigaud (v. 1258-1269)]
  • RigaudC [Eudes Rigaud (v. 1258-1269)]
  • RigaudD [Eudes Rigaud (v. 1262)]
  • RigaudE [Jean de Neuilly-en-Thelle (1270-1271)]
  • RigaudF [Eudes Rigaud (après 1270/1271)]
  • FlavacourtA [Guillaume de Flavacourt (v. 1278-1279)]
  • FlavacourtB [Guillaume de Flavacourt (v. 1280-1300)]
  • FlavacourtC [Guillaume de Flavacourt (fin de l'archiépiscopat)]
  • FargesA [Bernard de Farges (v. 1306-1311)]
  • XIV [Ajouts du XIVe siècle]
  • XVII [Ajouts des XVIIe-XVIIIe siècles]
Pour citer cette page : Laboratoire de textes Norécrit, Registre des églises ou pouillé du diocèse de Rouen (1236-1306)« Incipit archidiaconatus Major », état d’établissement du texte annoté par Emeline Mancel, sous la responsabilité de Grégory Combalbert, consulté le . [En ligne : ]

Incipit archidiaconatus Major

Incipit decanatus christianatis Rothomagensis

Decanatus de Burgo Theroudi

Decanatus Ponte Audomari Commentaire
Il semble que le terme « incipit » n'apparaisse pas avant le terme « decanatus », cependant, l'encre étant très effacée, il n'est pas possible de l'affirmer.

Decanatus de Rivo

Decanatus de Calleio

Decanatus de Piris

Decanatus Sancti Georgii

Decanatus de Pavelliaco

Commentaires :

1. Jusqu'à l'église de Saint-Pierre-le-Portier inclus (fol. 8 recto), toutes les églises sont situées à Rouen.

2. Le terme « XXX » a été réécrit, soit par-dessus quelque chose de gratté, soit en raison d'une tache d'humidité, probablement d'une main datant du début du XIVe siècle.

3. La déclinaison est incertaine.

4. Le texte du segment qui suit est écrit dans la marge inférieure du fol. 7 recto. Il a été rattaché ici à la paroisse le concernant.

5. Il semble que le terme « IIII xx » ait été effacé, bien qu'il reste encore lisible.

6. Une tache d'encre est présente sur le terme « Huivilla », qui n'empêche pas la lecture.

7. L. Delisle précise « Nicholaus De Mesnillo Wace », sans donner de source pour vérifier cette information. Delisle Léopold, « Polyptychum Rotomagensis Diocesis », p. 233.

8. Ce paragraphe est à mettre en relation avec celui sur l'église de Bosguérard-de-Marcouville, au fol. 11 verso.

9. Le 5 octobre 1272.

10. Le terme « IIII » semble avoir été réécrit par-dessus quelque chose de gratté, de la même main que le reste de la phrase.

11. Le copiste a originalement copié « Bussetus » avant d'effacer le « s » final pour le remplacer par un tilde sur le dernier « u ».

12. Le paragraphe qui suit est écrit dans la marge extérieure, à gauche, de manière perpendiculaire au texte du feuillet.

13. Le passage suivant, jusqu'à « domino P. » est écrit sur le fol. 11 recto, avant que la seconde main ne revienne sur le fol. 10 recto jusqu'à la fin du paragraphe.

14. Un paragraphe est consacré à cette même église à la fin du fol. 10 recto, relatant un conflit daté de 1272 sur le droit de patronage, qui revient aux religieux de Saint-Wandrille.

15. Le texte qui suit est situé dans la marge gauche, perpendiculairemement au texte du feuillet, sur cinq lignes.

16. Il semble que le terme « incipit » n'apparaisse pas avant le terme « decanatus », cependant, l'encre étant très effacée, il n'est pas possible de l'affirmer.

17. Les termes « archiepiscopus ac » sont à la fois grattés et exponctués.

18. Un signe (dièse) est présent à la fin du paragraphe de la Haye-de-Routot (après « dicti prioris ») ainsi qu'au début de du paragraphe qui suit, indiquant que les deux sont liés.

19. Les quatre églises sont écrites en liste à gauche du feuillet, puis reliées par quatre traits au texte « cedunt... », écrit à droite du feuillet.

20. Le terme « magistrum » est à la fois barré et exponctué.

21. Il semble que le terme originel ait été « Leo[...]dus », les lettres après « Leo » ayant été grattées et remplacées par « deg » et les trois dernières lettres ayant été barrées et remplacées, au-dessus, par « arius ».

22. Ce pourrait être le prêtre Jean ou encore Robert, tous deux investis par Eudes Rigaud.

23. Il semble que l'initiale « H. » ne fasse pas référence à l'abbé de Jumièges puisque les deux abbés successivement en fonction lors de l'archiépiscopat de Pierre de Colmieu (1236-1244) sont Guillaume III de Rançon (1213-1239) puis Guillaume IV de Courdieu (1239-1247). Peut-être Hugues s'est-il présenté lui-même ?

24. Les noms des quatre églises sont écrits en liste à gauche du feuillet, puis reliés par quatre traits au texte « in hiis... », écrit à droite du feuillet.

25. Il semble que le nombre de paroissiens ait d'abord été VIIxx V et qu'une barre ait été grattée pour passer de VIIxx à VIxx.

26. « Cette redevance est très singulière, la plupart des cas d’incorporation ne comprenant pas l’obligation de payer à l’évêque autre chose que les habituels droits de synode et de visite. Cette redevance étant due à l’archevêque et à l’archidiacre, on peut supposer qu’elle est destinée à servir de compensation pour un droit que ces deux personnages ne pourront plus exercer à l’avenir à cause de la desserte par les frères, en l’occurrence le droit de déport. » — Combalbert G., Mancel E., « L'archevêque Eudes Rigaud et le "registre des églises"... », 2024, p. 328.

27. Le parchemin est troué entre la fin de ce paragraphe et le début du paragraphe suivant, laissant entrevoir le fol. 19 recto.

28. Le terme « abbas » a été modifié, probablement d'une main du XIVe siècle : L. Delisle transcrit le mot comme « abbatissa », puisque l'abbaye Saint-Désir, dont il est question, était tenue par des religieuses bénédictines. Mais cela reste cependant difficile à lire. - Delisle Léopold, « Polyptychum Rotomagensis Diocesis », p. 243.

29. Le terme « Rovroi » a été écrit une première fois, dans la continuité du texte, sans doute par-dessus un terme gratté. Peu lisible, le scribe l'a réécrit une seconde fois dans la marge, à gauche.

30. Le V de « XXXV » semble avoir été corrigé ou réécrit par-dessus un texte gratté.

31. Il semble que le nombre initial de paroissiens ait été « XLVII » et que le dernier bâton ait été gratté ou effacé.

32. Le 10 janvier 1279.

33. Le parchemin est déchiré à cet endroit et sur la ligne en-dessous (entre « abbatem » et « Willelmum »), laissant transparaître le texte du fol. 21 recto. Il est probable que la déchirure existait au moment de la rédaction puisque aucun mot ne semble manquer dans les structures de phrases.

34. Il semble que le nombre initial de paroissiens ait été « XXVI » puis que le « I » ait été effacé.

35. Le parchemin est déchiré à cet endroit (cf : la note sur le paragraphe de Mont-Cauvaire) Il est probable que la déchirure existait au moment de la rédaction puisque aucun mot ne semble manquer dans les structures de phrases.

36. Sous l'archiépiscopat de Thibaud d'Amiens (1222-1229), l'abbé de Saint-Wandrille est Guillaume de Bray (v. 1219-1235), son prédécesseur et son successeur portant tous les deux le nom de Roger.

37. L'espace laissé blanc était probablement destiné à accueillir la valeur du bénéfice.

38. Entre les termes « ad » et « dicti » se trouve un mot raturé, qu'il n'est pas possible de retranscrire.

39. Deux traits obliques avant « libras » et avant « XXV » semblent indiquer que le terme « XXV » est à placer avant le terme « libras », la cure valant vingt-cinq livres.

40. La ville de Pont-Saint-Pierre se retrouve également dans le doyenné de Gamaches, pour l'église Saint-Pierre (fol. 88 recto).

41. Le sens exact du mot almariolum n’est pas facile à déterminer. D’après Jan-Frederik Niermeyer, Mediae latinitatis lexicon minus, Leiden, 1976, p. 60, armariolum peut avoir le sens d’armoire / bibliothèque ou désigner les archives. D’après Charles du Cange et al., Glossarium mediae et infimae latinitatis, Niort, 1883-1887 (éd. augm.), t. 1, col. 390a, armarium désigne une bibliothèque et armariolus une petite bibliothèque.

42. « Ce cartulaire archiépiscopal est aujourd’hui perdu (il ne peut être confondu avec le cartulaire dit de Philippe d’Alençon [Arch. dép. Seine-Maritime, G 7], qui contient certes quelques copies d’actes du XIIIe siècle mais a été confectionné à la fin du Moyen Âge). » — Combalbert G., Mancel E., « L'archevêque Eudes Rigaud et le "registre des églises"... », 2024, p. 333, n. 100.

43. Le terme « LXV » semble avoir été réécrit par-dessus un terme gratté.

44. Il est difficile de dire s'il s'agit du même Jean qui a présenté un candidat à l'archevêque Thibaud d'Amiens. Deux fiches différentes ont été crées.

45. Le nombre de mots manquants est difficile à déterminer. L'espace laissé blanc était probablement destiné à accueillir la valeur du bénéfice.

46. Cette remarque est suivi d'un signe sous forme d'arabesques, que l'on retrouve au folio duivant (27 recto, au début du paragraphe commençant par « A pere ennorable... »

47. Transcription incertaine. Peut-être « Conu ».

48. Cette charte est à mettre en relation avec le paragraphe de l'église de Saint-Léger-du-Bourg-Denis, au fol. 26 verso.

49. Le 19 février 1298.

50. Ce conflit est réglé par un acte de Pierre de Colmieu en janvier 1241 (n. st.). D’un commun accord, il a émergé que dans les temps où l’église viendrait à être vacante, l’archevêque conférera la présentation une fois, et les religieux une seconde fois et, dans le futur, ils procéderont alternativement. (Voir arch. dép. Seine-Maritime, 16 H 14, fol. 192 verso.)

51. Cette ancienne paroisse se trouve aujourd'hui dans la commune des Trois-Pierres, dont l'ancienne paroisse se retrouve dans le doyenné de Colebosc (fol. 56 verso).

52. Le passage du texte suivant est inscrit au fol. 28 recto. Le scribe d'Eudes Rigaud revient ensuite au fol. 27 verso pour terminer ce paragraphe et ajouter celui de Caudebec. Le fol. 28 recto recommence avec le paragraphe sur l'église de Touffreville.

53. « C’est à coup sûr Eudes Rigaud qui fait introduire dans le registre des églises, plus précisément dans la rubrique consacrée au doyenné de Saint-Georges, le nom des quatre églises traditionnellement appelées "filles de Saint-Wandrille" — Saint-Wandrille, Rançon, Sainte-Gertrude, Caudebec —, qui échappaient probablement jusqu’en 1239 à toute juridiction archidiaconale et relevaient directement de l’abbé de Saint-Wandrille. À cette date, Hugues de Pise, archidiacre de Rouen, avait obtenu, au terme d’un conflit mal connu avec l’abbé, la reconnaissance de ses droits sur ces quatre églises en mettant en avant un argument territorial — l’inclusion géographique de ces paroisses dans son archidiaconé — mettant fin à une situation qui trouvait certainement son origine dans un privilège ducal de 1082, affranchissant l’abbé des "exactions" de l’archevêque et des archidiacres dans ces quatre paroisses. » — Combalbert G., Mancel E., « L'archevêque Eudes Rigaud et le "registre des églises"... », 2024, p. 329.

54. Pour l'ajout de cette paroisse à cet endroit du registre, voir la note supra sur la paroisse Notre-Dame de Caudebec (fol. 27 verso).

55. L'identification du lieu de la chapelle Saint-Eustache est incertaine.

56. Le parchemin est déchiré à cet endroit, laissant apparaître l’écriture du fol. 30 recto. La déchirure semble être antérieure à la rédaction puisque aucun mot ne semble manquer dans la structure de la phrase.

57. Le parchemin est déchiré à cet endroit, la déchirure se prolongeant jusqu'au paragraphe suivant (cf : note fol. 29 recto sur la paroisse de Bouville). Elle semble être antérieure à la rédaction puisque aucun mot ne semble manquer dans la structure du paragraphe.

58. Le parchemin est déchiré à cet endroit et, une tâche d'encre s'ajoutant à cela, la valeur du bénéfice est illisible.

59. Le parchemin est troué entre les termes « reg » et « is », laissant transparaître le texte du fol. 28 verso. Il semble que le trou était déjà présent au moment de la rédaction et que le scribe ait coupé en deux le terme « regis ».

60. Une tâche d'usure est présente sur le parchemin, rendant la valeur du bénéfice illisible.

61. Pour l'ajout de cette paroisse à cet endroit du registre, voir la note supra sur la paroisse Notre-Dame de Caudebec (fol. 27 verso).

62.  Ce paragraphe est écrit dans la marge extérieure (à gauche), en sens perpendiculaire au texte du feuillet. Pour l'ajout de cette paroisse à cet endroit du registre, voir la note supra sur la paroisse Notre-Dame de Caudebec (fol. 27 verso).

63. Le terme « XL libras » semble avoir été réécrit par-dessus quelque chose de gratté, originellement écrit de la main de Pierre de Colmieu.

64. Eudes Rigaud notifie l'admission de Jean au doyen de Pavilly dans un acte daté du 23 mai 1265. – AD Seine-Maritime, 16 H 14, fol. 165 recto.

65. Le paragraphe qui suit est placé en bas du fol. 32 recto.

66. Le paragraphe qui suit est écrit au-dessus du paragraphe écrit de la main de Pierre de Colmieu, les deux étant reliés par un trait dans la marge gauche, indiquant qu’il s’agit de la même paroisse.

67. Il semble que le paragraphe qui suit ait été écrit de la main d'un des scibes de Guillaume de Flavacourt.

68. Deux traits obliques sont tracés après le terme « patronus », sans qu'ils ne renvoient à quelque ajout en marge du texte.

69. Transcription incertaine, peut-être faut-il lire « Marronie » ?

70. Un paragraphe est consacré à l'église de Pavilly au fol. 32 verso.