Apparat critique

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Pour citer cette page : Laboratoire de textes Norécrit, Coutumes de la vicomté de l'eau de Rouen (BM Rouen, Y 112 - 1509)« Comme les choses communes s’aquictent », état d’établissement du texte annoté par Laure Cébe, sous la responsabilité de Laurence Jean-Marie, consulté le . [En ligne : ]

Comme les choses communes s’aquictent

Une meulle a fevre, i d. L’enclume a febvre, iiii d. Les souffletz que on appelle fons, viii d. La meulle a moullin, ii d. Pour chacum cheval apportant en la ville ou rapportant bled, avoyne ou autre grain, i d. Pour ung baril d’assier en charette, iiii d. Pour ung cent de fer, iiii d. Pour ung tonneau par eaue ou en charette, viii d. Aucuneffoys advient que ung marchant {Fol. 39v, BMR_Y112}faict porter des draps, toilles ou telles chosespar deux oupar deux ou ajouté après ce mot B. par trois ou par plusieurs personnes, de chacum portant il est tenu païer i d. Pour une ferrure a charette, i d. Pour trepiez venant a cheval ou en nef, iiii d. A col, i d. Pour sel porté a cheval, mais qu’il y en ait une myne, i d.

Apparat :

(y)  par deux ou ajouté après ce mot B.