Apparat critique

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[De pelleterye et peau de regnardDans A comme dans B le scribe a écrit ce début de phrase en faisant un saut de ligne et en utilisant une écriture plus épaisse, comme s’il s’agissait d’un nouveau paragraphe, alors que cela concerne aussi la coutume des peaux comme dans le paragraphe précédent.]

De pelleterye et peau de regnard, i d.A la coustume de la pelleterye par semblable est deu de coustume de peau de regnard, i d. B. ; de martre, i d. ; de faine, i d. ; de loutre, i d. ; de cent d’aigneaulx aprez la Sainct Johan, iiii d. ; du cent d'escureus, iiii d., et du plus ou moings a l’ecquippollent ; putoys et toulte pelleterye hors saison ne doibvent riens. Une penne qui oncques ne servit, i d., et celle qui a servy ne doibt riens, excepté que a la foire du Pray qu’elle doibt vi d. De liepvres ou cougnins, neant se ilz ne sont en pennes, enquel cas ilz doibvent i d. comme dessus, et a la foire du Pray tout se double comme dessusla coustume se double comme dict est B. .

Apparat :

(co)  A la coustume de la pelleterye par semblable est deu de coustume de peau de regnard, i d. B. — (cp)  la coustume se double comme dict est B.

Pour citer cette page : Laboratoire de textes Norécrit, Coutumes de Lisieux« De pelleterye et peau de regnard », état d’établissement du texte annoté par Lény Retoux et Laurence Jean-Marie, sous la responsabilité de Laurence Jean-Marie, consulté le vendredi 30 mai 2025. [En ligne : https://emmsm.unicaen.fr/norecrit/lisieux/Lisieux.xml/G259.1.14.html]